Introduction
Cela faisait un petit moment que je n’avais pas publié un billet très orienté philosophie. Et pour cause, ce n’est ni le sujet préféré des philosophes (on trouve quand même une bibliographie beaucoup plus restreinte que pour les grands sujets de société, comme l’amour, l’art, etc.), ni un sujet qui est beaucoup vulgarisé (on a droit aux essais, et… c’est tout). Et puis, les grands penseurs de l’histoire de la philosophie (Platon, Socrate, Aristote, Voltaire, Rousseau), ne se sont jamais penchés, dans leurs écrits, sur la photographie.
Pour l’anecdote, j’étais à Madagascar, en janvier dernier, quand j’ai lu le livre dont je vais vous parler ici. J’ai pris une partie de mes notes sur un petit carnet dans le taxi qui m’emmenait de l’hôtel au boulot, et comme à Madagascar il n’y a ni feux de circulation, ni stops, ni rien qui ressemble à un code de la route, c’était un peu compliqué à déchiffrer au retour. Donc voilà, un billet qui vient de l’autre bout du monde.
Il sera donc ici question de l’ouvrage suivant :
L’ouvrage est un long essai portant sur la photographie, comme son nom l’indique subtilement. Il se lit plutôt bien, surtout si on le compare à du Hegel, bien que la dernière partie de l’ouvrage, sur le rôle des images dans la société, soit un peu plus ardue. Le fait qu’il n’y ait pas trop de notes de bas de pages, rend la lecture assez fluide.
L’auteur est Vilém Flusser, un philosophe d’origine tchèque (Sudètes représente baby !), et son nom est assez peu connu du public français mais dont l’œuvre est plus célèbre dans les pays de langue germanique, car les médias s’en étaient emparés. Il a principalement vécu dans son pays d’origine, puis au Brésil (dont il obtient la nationalité) et en France. Les essais de Flusser sont courts, provocants et lucides, avec un style ressemblant à celui d’articles de journaux.
Il fait partie des philosophes qui se sont aussi confrontés à la réalité. C’est à dire qu’il ne s’est pas contenté de balancer ses essais comme un gros album de rap, non non, il a été beaucoup sur le terrain. Il a notamment été conférencier à l’école d’Arles, a tenu des chroniques dans Artforum et European Photography, et a été un des curateurs de la XIIe biennale de São Paulo (en 1973). Vivant en Provence, il a aussi participé à plusieurs reprises aux rencontres d’Arles (de 1982 à 1984).
Maintenant que le contexte est posé, nous allons démarrer. Comme l’article que j’avais rédigé sur Barthes, il s’agira principalement de lister et expliquer les principales idées de l’ouvrage, sans pour autant prétendre se substituer à sa lecture assidue et méticuleuse, de préférence dans un endroit calme si vous en croyez mon expérience. Oui, la phrase précédente était particulièrement longue. Bref, on démarre.
Ps : Vous pouvez retrouver tous les articles parlant de livres sous ce tag : Fiches de lecture, ou via la Bibliographie.
Vocabulaire
Dans son texte, Flusser développe un lexique de termes qui se sont révélés influents et qui continuent à être utiles pour penser la photographie contemporaine, les technologies numériques de l’image et leurs usages en ligne. Il me semblait pertinent de commencer par les présenter, étant donné que l’on va s’en servir (un petit peu) dans le reste du billet. Ces termes sont :
- le « dispositif » : un outil qui change le sens du monde en opposition aux outils mécaniques qui changent le monde lui-même. C’est tout simple : avec une perceuse, on fait des trous, on change le monde réel. Avec un appareil photo, qui est un dispositif, on change le sens du monde, son interprétation, à qui on fait dire ce que l’on veut.
- le « fonctionneur » (« functionary » en anglais) : le photographe, ou l’opérateur de l’appareil, qui est contraint par ses règles. Il le fait fonctionner, dans la limite de ce qu’il est possible de faire avec. Par exemple, on ne fait pas de vidéo avec un appareil photo argentique, c’est une limite.
- le « programme », soit ce que peut l’appareil et la façon dont il le fait. C’est la façon la plus simple de résumer le concept qui se cache derrière ce terme.
- « l’image technique » : une image produite de façon mécanique, et non directement par la main de l’homme (comme la peinture), c’est comme ça que je l’entends après la lecture de l’ouvrage.
Caractéristiques de la photographie
La première caractéristique de la photographie qu’il développe (c’est un hasard si c’est la première de l’article) concerne la lecture des images. En effet, bien que l’on puisse « lire » une image d’un premier coup d’œil, cela n’est qu’une lecture superficielle. Pour décrypter entièrement une image, l’œil doit rentrer dans la composition, petit à petit, en analyser les éléments et leurs interactions. Il appelle cela le scanning. Parce qu’en anglais ça pétait plus pendant les dîners. L’élément intéressant de son explication concerne le sens des éléments de l’image, en effet, une photographie est plurivoque et non univoque. Il y a au minimum deux intentions dans une image, celle de la personne qui l’a créée, et celle de la personne qui la regarde.
Ainsi, si l’on prend l’exemple, tout bête ci-dessus, le photographe a photographié une flopée de pommes, et c’est sans doute ce qu’il cherche à représenter. Mais le spectateur pourra y voir une critique de la société de consommation (toutes les pommes sont uniformes, ce qui correspond aux standards industriels), une critique sociale & morale s’il est religieux (la pomme rouge que croque Ève dans la Bible est ici démultipliée), ou juste un souvenir d’enfance (si sa mamie faisait de bonnes compotes). Bref, il est dans la nature de toute photographie de porter à minima deux sens, et le photographe n’a la maîtrise que d’une infime partie de ça.
Autre idée intéressante, Vilém Flusser considère que la photographie est en 4 dimensions. C’est à dire, les 3 dimensions de l’espace (hauteur, largeur, et profondeur) qui sont représentées dans l’image, ainsi que le temps, qui en est une composante essentielle. Ce n’est même pas une idée directement liée à la vitesse d’obturation (qu’elle soit d’1/1000e ou de 50 secondes n’est pas vraiment le sujet), mais plutôt au message qu’elle porte. Prenons les trois photographies ci-dessous :
La première photographie, de Bruce Gilden, représente un instant assez rapide. A la lecture de l’image, on devine que les deux femmes ont vu apparaître le photographe devant elles, elles en sont surprises, cela n’a pas duré des heures. Inversement, Darren Almond photographie des paysages d’Angleterre à la lumière de la pleine lune (c’est le projet de son livre Fullmoon), l’image représente un moment qui a duré plusieurs heures. Et, encore une fois, ce n’est pas lié directement au temps d’exposition : l’image de Raymond Depardon doit avoir un temps d’exposition assez court, mais elle fait aussi référence à un « temps long ». Ce qui est tout l’objet du livre Errance dont elle est issue.
La magie de la photographie
Alors, soyez rassuré, ni Vilém ni moi-même n’allons dans cette partie vous pondre un concept pseudo-mystique à base de couchers de soleil, de portraits à pleine ouverture, et de « je sublime la vie grâce à mon regard ». Il y a des chaînes YouTube qui font très bien ça (comme celle-là, au hasard).
Non, l’idée que présente Vilém Flusser est beaucoup plus subtile. Il considère que la photographie est magique, car elle présente une forme d’éternel retour au même, qui s’oppose à l’histoire, une science, qui elle ne se répète pas. Il va falloir s’accrocher un peu, mais pas de panique, c’est un concept assez simple à intégrer si on prend un exemple basique : dans le monde réel (historique) le lever du soleil pousse le coq à chanter, dans le monde de l’image, les deux (le coq et le soleil) renvoient l’un à l’autre. L’un signifie l’autre et inversement : le soleil qui se lève pousse le coq à chanter, le coq qui chante induit que le soleil est en train de se lever.
Pourquoi est-ce magique ? Parce que cela s’oppose diamétralement à la science, à l’une des bases fondamentales de la physique : la causalité. Une conséquence suit toujours une cause. Si je lâche mon stylo, il tombe sur le sol. Il ne peut pas tomber sur le sol tant que je ne le lâche pas. Il y a un rapport de cause à effet, dans un sens unique, entre ces deux événements. Comme la photographie casse cette causalité, et donc un des principes fondamentaux de la physique/science, elle est magique. En effet, le principe même de la magie, étant de fonctionner d’une façon s’opposant à toute forme de rationalité. Par exemple, quand Harry Potter vole sur son balai, c’est de la magie car il n’y a aucune loi scientifique qui pourrait expliquer cela.
Bref, prenons la photographie de Sugimoto ci-dessus. Dans le monde réel (et historique) la mort d’un animal, attire les vautours. Il y a un lien de causalité direct de l’un à l’autre. Dans cette photographie, ce lien est cassé : les vautours sont là autour du cadavre de l’animal. Leur présence signifie sa mort, la symbolise même, et la mort de l’animal induit la présence des vautours. Il y a bien une forme d’éternel retour au même, rendant cette photographie… magique.
Nature de l’appareil photographique
Flusser aborde dans son essai l’appareil photographique et ses caractéristiques, c’est sans doute la partie que j’ai préférée. J’ai trouvé qu’il avait le talent de mettre des mots et des concepts sur des choses que l’on a tous pressenties, sans pouvoir les exprimer aussi clairement.
Pour lui, l’appareil photo, est un objet structurellement complexe, mais fonctionnellement simple. Cela signifie qu’il y a tout une tartine d’électronique, d’optique, d’informatique ou de chimie pour le faire fonctionner (sa structure est complexe), mais que globalement, il faut tourner des molettes et appuyer sur un bouton pour le faire fonctionner (il est fonctionnellement simple). En cela, il diffère fondamentalement des échecs par exemple, qui sont un jeu structurellement très simple (de modestes pièces de bois sur une planche) mais de fonctionnellement très complexe (on peut passer une vie à chercher de nouveaux coups).
En revanche, en photographie comme au jeu d’échecs, on cherche en permanence de nouveau coups, pour aller plus loin, apprendre, progresser. Il y pose cependant une nuance : face à l’appareil, l’amateur s’émerveille de la complexité structurelle de l’appareil et ne cherche pas de nouveaux coups. Alors, dans ce contexte je ne suis pas d’accord avec l’usage du terme amateur, comme de quelque chose de péjoratif : être amateur c’est très bien aussi (voir ici). Cependant, il traduit justement une certaine réalité : beaucoup de personnes s’émerveillent du fonctionnement de l’appareil, mais ne cherchent pas à le pousser plus loin dans l’usage qu’ils en font. D’où le fait qu’il y a 10 fois plus de forums sur le matériel, que ceux qui sont consacrés à la recherche et au travail photographique.
L’appareil fait ce que veut le photographe, et le photographe doit vouloir ce que peut l’appareil.
Vilém Flusser
Concernant cette recherche de « nouveaux coups », pour Flusser l’appareil photographique dispose d’un nombre de possibilités fini. Ainsi, les photographies sont soit informatives, soit redondantes. C’est à dire que soit une photographie nous apprend quelque chose de nouveau (un journaliste photographie un événement et diffuse ses images) soit elles sont redondantes (une photographie de paysage de montagne ne nous apprend rien de nouveau sur la montagne). En conséquence, si la photographie est informative, il existe une possibilité de moins, une photographie de moins à faire. Il existe donc, implicitement, une sorte de recherche d’information par la transformation du monde en photographie.
C’est une position assez radicale, bien qu’elle repose sur une certaine réalité. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce n’est pas parce qu’une photographie est redondante qu’elle est mauvaise ou inintéressante. Elle redit juste quelque chose autrement. D’ailleurs, il ne parle que d’une photographie seule, mais à l’échelle d’un projet, c’est assez différent. C’est assez normal au final, on le constate déjà dans la littérature : il y a des histoires que l’on nous rabâche depuis des siècles (elles sont donc redondantes) mais pas moins intéressantes pour autant. Par exemple, Le Seigneur des Anneaux et Harry Potter racontent la même histoire : un personnage faible et seul contre un ennemi qui voit en lui, auquel il est lié, et qu’il doit défaire en traversant de difficiles épreuves. J’ai quand même adoré les deux.
Images et histoire
L’invention de la photographie constitue une rupture dans l’histoire qui peut seulement être comprise par rapport à cette autre rupture historique qu’est l’écriture linéaire.
Vilém Flusser
La citation précédente constitue l’introduction parfaite pour cette sous-partie. Dans son texte, Flusser place la photographie comme étant, d’une certaine façon, tant une rupture (car un changement) qu’une continuité (car elle en reprend des fonctions) de l’écriture. C’est une idée que j’ai trouvée assez intéressante, et à ma connaissance, il est le seul à l’avoir développée.
En effet, selon lui, l’une des caractéristiques de l’histoire est l’opposition entre l’écriture et l’image. Jusqu’à l’invention de la photographie, on déchiffrait des textes pour découvrir les images qu’ils signifient. Par exemple en lisant cette phrase « La voiture bleue devant la maison », eh bien, sans surprise, votre esprit forme l’image d’une voiture bleue devant une maison. Je n’ai pas précisé le modèle ni la marque d’ailleurs, faites-vous plaisir sur ce point. Bref. Le texte, notamment au Moyen-Âge avait une très grande importance, car il régulait le monde. Flusser parle de textolâtrie (rien à voir avec les SMS) : le texte définissait la vie dans son ensemble (via les textes religieux par exemple), organisait la vie quotidienne dans les monastères, les rapports de possession et hiérarchiques, etc.
L’émergence de l’image (puis de la photographie) change ce rapport et constitue en cela une rupture, désormais, c’est l’image qui illustre le texte, et non l’inverse, dans le sens où l’on déchiffre les images et les signes qu’elles contiennent et non plus le texte comme précédemment. D’ailleurs, autre différence, pour le texte, l’écriture impliquait la lecture. On écrit sachant qu’on est lu, ce qui n’est plus le cas de l’image. Certaines sont simplement regardées, et non décryptées/analysées.
Désormais, écriture et image se nourrissent et peuvent se contenir l’une l’autre, et nous y sommes habitués. Nous sommes mêmes habitués à leur changement régulier, nous serions très surpris si ça n’était plus le cas : imaginez votre journal quotidien toujours avec la même image en couverture, toutes les publicités pour un même produit avec la même photographie, etc.
Photographie et peinture
Comme nous venons de le voir, les idées étaient auparavant interprétées du point de vue de leurs formes écrites, et la photographie proclame des nouvelles formes de perception de l’expérience et du savoir.
Dans ce contexte, Flusser affirme que les photographies sont à comprendre de manière strictement différente des « formes d’image pré-techniques », entendez par là : tout ce qui n’est pas issu d’un procédé mécanique, donc les gravures, estampes, dessins, etc. Ainsi, il oppose les photographies à des peintures qu’il décrit comme des images qui peuvent être « décodées » de manière sensible, car l’observateur est capable d’interpréter ce qu’il voit comme un signe plus ou moins direct de l’intention du peintre. A l’opposé, même si la photographie produit des images qui semblent être des « représentations fidèles » des objets et événements, elles ne peuvent pas être « décodées ». Le cœur de cette différence, pour Flusser, a sa racine dans le fait que les photographies sont produites à travers les opérations d’un dispositif. Et le dispositif photographique opère d’une manière qui n’est pas immédiatement comprise ou façonnée par son opérateur. Par exemple, il décrit l’acte de photographier de la manière suivante:
« Le geste du photographe comme recherche d’un point de vue sur une scène prend place au travers des possibilités offertes par le dispositif. Le photographe se déplace au sein de catégories spécifiques de l’espace et du temps par rapport à la scène : proximité et distance, vues frontales et de côtés, exposition courte ou longue, etc. (…) Ces catégories sont un a priori pour lui. Il doit « décider » à travers elles : il doit appuyer sur le déclencheur. »
Vilém Flusser, Philosophy of Photography, vol. 2, 2012
Pour simplifier, la personne qui utilise l’appareil photographique peut penser qu’elle règle les contrôles afin de produire une image montrant le monde de la manière dont elle veut qu’on le voie, mais c’est la nature pré-programmée de l’appareil qui fixe les paramètres de cet acte et c’est le dispositif qui façonne le sens de l’image finale. Étant donnée la nature essentielle de la photographie dans tous les aspects de la vie quotidienne, la nature programmée du dispositif photographique façonne l’expérience de regarder et d’interpréter des photographies aussi bien que la plupart des contextes culturels dans lesquels nous produisons puis analysons ces images.
Valeur de la photographie
Pour Flusser, la photographie ne dispose que de 3 canaux de diffusion : artistique, politique et commercial. Cependant, elles n’ont pas de valeur intrinsèque, ce qui est typique de la société d’information post-industrielle. En effet, les photographies diffèrent des objets, comme les chaussures par exemple. Celles-ci portent une valeur, qui s’use avec le temps et l’usage qu’on en fait. Ce qui n’est pas le cas des photographies, par définition reproductibles à l’infini, sans rien perdre de leur intégrité et à moindre coût, sinon gratuitement.
Il note aussi un certain déclin du concept de propriété : désormais, le pouvoir appartient à celui qui a produit l’information (le photographe) et non à celui qui possède l’objet (un tirage de la photographie), cette dernière, comme nous l’avons vu, n’ayant plus grande valeur désormais.
Conclusion
Pour résumer l’article, le philosophe Vilém Flusser a analysé l’émergence de la photographie comme emblématique d’un âge nouveau de la civilisation. Ce nouvel âge se voit déterminé par l’usage des appareils, c’est-à-dire des dispositifs fonctionnels programmés produisant des images techniques, mettant ainsi fin à la prédominance de l’écriture linéaire. Cette nouvelle culture découlerait d’une vision plus directe de la réalité sous forme d’images (photographies, films, vidéos) issues du fonctionnement des appareils. Or de telles images techniques, loin d’être spontanées, résultent de calculs numériques qui font exister et fonctionner les appareils de visualisation, des « black box », comme les désigne Flusser. Les programmes de ces appareils détermineraient les conduites individuelles, et les possibilités créatives. Le traitement automatisé et combinatoire de l’information serait donc devenu la loi sous-jacente de la nouvelle visualité.
Au final, j’ai trouvé l’ouvrage très intéressant, et enrichissant dans sa façon de penser et de décrire la photographie. Il est relativement peu connu, ce qui est dommage, je ne l’ai jamais vu mentionné dans d’autres lectures, au contraire de Barthes par exemple qui est souvent cité par ses pairs. La lecture de l’ouvrage est assez fluide (un essai, sans notes de bas de pages), mais quelques concepts restent encore un peu obscurs dans mon esprit après sa lecture (les « catégories » notamment, je comprends le sens qu’il donne à ce terme quand il l’emploie, mais je serai incapable d’en donner une définition). Bref, lisez des livres, prenez soin de vous, et si vous avez des conseils de lecture sur la philosophie de la photographie, n’hésitez pas !
Pour aller plus loin :
- Brassat, E. (2009). L’intrusion de l’image technique dans le réel à l’âge des appareils. Essaim, 23,(2), 37-50. En ligne (URL).
- Lenot, M. (2014). Jouer contre les appareils : pour une définition de la photographie expérimentale,Jouer contre les appareils. Publications de la Sorbonne. En ligne (URL).
- Moles Abraham, A. (1992). Vilém Flusser, un philosophe des Sudètes. In: Communication et langages, n°91, 1er trimestre 1992. pp.112-114. En ligne (URL).
Et pour écrire ce billet, j’me suis noyé sous cet album :
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